Les femmes et les hommes sont génétiquement différents, que ce soit physiquement, physiologiquement, psychologiquement. Ils semblent n’avoir rien en commun, excepté quelques traits de caractère ; ni apparence, ni manière de penser, de s’investir, de voir les choses. Il y a toujours un moment où une nuance notable se fait ressentir, ce qui ne signifie pas pour autant la distorsion. De la disparité naît le plus souvent la richesse. Les rôles qui leur sont dévolus l’ont été en fonction des différentes attentes, le plus souvent basiques, d’un sexe par rapport à l’autre.
Des déséquilibres se sont accentués au fil du temps, compte tenu des capacités innées de chacun à développer telle ou telle qualité. De même leurs défauts ont été répertoriés selon qu’ils appartiennent au sexe dit « fort » ou « faible ». Si quelques dérapages ont lieu, la société a fait que chaque genre se conforme assez bien au moule que des générations ont édifié pour lui en amont. Bien sûr il a fallu faire quelques ajustements, notamment lorsque les féministes s’en sont mêlées. Tout petits, les enfants sont amenés à assimiler rapidement les codes de la norme correspondant à leur genre.
La complémentarité des sexes s’est ainsi installée dans les mentalités et la plupart des civilisations. C’est ainsi que les agissements envers le sexe opposé ont été modelés. Par contre, le risque existe que l’équité fasse figure de cassure, fragmentant un équilibre devenu de plus en plus fragile.
Pourtant, au cœur du cerveau humain, la différence n’a jamais été prouvée. Elle est juste sociétale.
Le genre n’est-il pas devenu un rapport de pouvoir, accentuant ainsi la différence sociale et imposant le rôle de chacun, au lieu de se réaliser en tant que processus relationnel ?
Source : edupass.hypotheses.orgEt si on osait dire que hommes et femmes ne sont pas égaux, mais qu’ils doivent avoir les mêmes droits ?!
Je m’explique ...