La population masculine a largement contribué à transformer une routine ancestrale.
De comportements erronés et étroits, en une ouverture d’esprit, de mouvements et d’actes qui eut pour effet l’émergence d’un nouveau type d’hommes. Cette identité naissante, qui ne demande qu’à se déployer, ils ne la doivent pas aux femmes. Ils sont allés la puiser en eux, dans des ressources inattendues et malmenées, au cœur de cette empreinte génétique bâtie de génération en génération par l’homme avec un grand H, susnommé le « sexe fort ».
Le modèle masculin a évolué et le patriarcat d’avant vit probablement ses derniers soubresauts dans la société occidentale. Les valeurs ont changé, même s’il est parfois difficile de les appliquer et de les assumer sans complexes ni confusion. Un père d’aujourd’hui est censé partager les tâches ménagères, domestiques, mais l’évolution ne se réduit pas à changer des couches, faire des courses ou passer l’aspirateur. Entre phallocratie et stéréotype des genres, il est parfois compliqué de se situer et d’agir en conservant sa propre identité tout en se conformant à ses nouveaux desiderata assez tendance.
Les situations retranchent parfois les hommes dans des contextes quotidiens compliqués. Il leur est difficile de trouver la juste attitude. La société en général ne se pose pas réellement de questions quant à leurs ressentis. Alors que la cause des femmes fait toujours l’objet de grands débats nationaux.
La modernité ne signifie pas forcément d’inverser les rôles entre les deux sexes.
La culpabilité des faits et gestes générationnels cessera-t-elle un jour de peser sur la communauté des hommes ?
Source : lexpress.frEt si on osait dire que hommes et femmes ne sont pas égaux, mais qu’ils doivent avoir les mêmes droits ?!
Je m’explique ...