Les femmes ont investi depuis longtemps les bancs universitaires, laminant au passage l’image studieuse de l’ensemble de la population masculine. Une emprise sociétale qui vise à l’orienter vers des métiers souvent artisanaux, sans lui offrir d’autres choix. Une faucheuse de talent irréductible, avec des chiffres qui parlent d’eux-mêmes. Force est de constater que les garçons doivent, très rapidement, se battre douloureusement pour ne pas être cantonnés dans des professions d’habileté manuelle plutôt que de réflexion.
Le cerveau, la pensée, la délicatesse, la perception et l’intuition sont des outils que la majorité d’entre eux possèdent, à l’identique des femmes et en sus de leurs capacités naturelles qui incluent la force et autres idées reçues. Un sésame pour occuper, comme elles, les postes clés de la fonction publique ou privée. Il est donc pressant de rétablir l’équité universitaire pour ne pas se retrouver d’ici quelques années avec une main mise féministe à tendance totalitaire qui laisserait peu de place à la nuance. Les clichés d’autrefois sont inversés et caducs.
Chacun doit accepter de prendre le rôle et le métier de l’autre quel que soit son genre. La sectorisation étudiante est un critère handicapant pour les jeunes hommes qui sont obligés de se frayer un passage dans cette condition intellectuelle que le clan féminin, vampirique, s’est approprié.
L’orientation professionnelle devrait revoir ses idées reçues pour établir l’équilibre.
N’est-il pas aberrant que les métiers d’éboueur, maçon plombier, électricien ne comptent dans leur rang que des sujets masculins ?
Source : inegalites.frEt si on osait dire que hommes et femmes ne sont pas égaux, mais qu’ils doivent avoir les mêmes droits ?!
Je m’explique ...